lundi 3 juin 2013

Nouméa et ses prostituées

 
Changement de visage aussi pour les Nouvelles Calédoniennes?


Fini les chiens et autres honnêtes contribuables écrasés le long des baies, fini la sempiternelle et justifiée litanie contre la vie chère, fini les explosions et les fuites dans les usines de nickel?
Enfin un sujet digne des capitales résolument tournées vers le progrès.

Nouméa joined finally the sin cities!
Nouméa Vice is borned!

Gédéon Richard, journaliste à LNC, a mené une enquête minutieuse et très précise avec tous les détails pour une clientèle de sceptiques en mal d'imagination et d'autres curieux sans arrière pensées.

Visite touristique avec notre guide Gédéon:

Plusieurs fois par semaine, un groupe de quatre à cinq prostituées attend, dès 20 heures, les clients à l'extrémité de la rue Charles-de-Verneil, au Quartier Latin. Quand elles n'y sont pas, elles sont chacune à l'angle de rues adjacentes du Quartier Latin... Il leur arrive même de faire leurs passes dans les fourrés qui jouxtent l'ancienne entrée du tribunal de première instance.
Un visage bien plus jeune que leurs aînées. Certaines seraient même mineures
20, c'est le nombre estimé de travailleuses du sexe qui arpentent les trottoirs, dans un périmètre compris entre les rues Verneilh, Lescour, Brun et Porcheron.
Même si des mineures apparaissent sur les trottoirs, la police explique qu'elle a d'autres priorités comme la lutte contre la consommation d'alcool et de stupéfiants.
Le calme règne au Quartier Latin où les belles de nuit travaillent en faisant attention à elles, équipées de préservatifs et de moyens de défense. Betty Levanqué, présidente de l'association "Vivre bien au Quartier Latin", témoigne: " ... pour l'instant, je n'ai pas eu de remontées négatives des résidents du quartier".

Il serait dommage de passer à côté!



3 commentaires:

  1. Vous voulez comparer avec la France? Au Quartier Latin ou au Port Autonome, il n'y a pas de proxénètes, pas de réseaux de prostitution, pas de trafic de femmes. Elles ne viennent pas de Biélorussie, de Russie ou du Vietnam, on ne leur a pas promis une carrière fabuleuse dans la mode ou la dance, on ne leur a pas confisqué leurs papiers pour les faire travailler.
    Elles sont humaines, ont de l'humour et ne dérange personne, même pas les riverains. Si vous passez à coté, dites leur bonsoir, ici vous n'êtes pas exempté de politesse

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  2. Un avis d'expert à n'en pas douter. Je vous crois sur paroles, monsieur "Gédéon" ! Un peu d'amour dans ce monde de brutes serait pas plus mal ...

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  3. Ça fait du bien pour les personnes qui n ont pas de femme ils peuvent aussi prendrent leur pied en allant faire un tour dans ses coins et oublie pas les pieces c pas gratis.!!!!!

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